Stagiaire en DANGER!

LIPDUB des étudiants en communication de l’UQÀM, sept. 2009

"LipDub réalisé durant la semaine d’initiations avec 172 étudiants en communication de l’Université du Québec à Montréal (UQAM). Tourné le 10 septembre 2009 en 2h15min."
 
 

Encore un faux pas pour Sergei Kostitsyn!

Suspendu, Sergei Kostitsyn exige d’être échangé
François Gagnon, La Presse (30 septembre 2009)
 
(Toronto) L’attaquant Sergei Kostitsyn a demandé au Canadien de Montréal de l’échanger. Renvoyé au club-école de Hamilton dimanche, Kostitsyn avait jusqu’à hier pour rejoindre les Bulldogs.

Il ne s’est toutefois pas présenté sur la patinoire du Copps Coliseum ce matin.«Sergei a refusé de joindre les rangs des Bulldogs et il a réclamé une transaction par le biais de son agent. Nous sommes déçus de cette réaction et avons décidé de le suspendre», a indiqué le directeur général du Canadien, Bob Gainey.

«Nous allons étudier la situation et verrons si nous pouvons accommoder Sergei. C’est un joueur qui peut être très bon et qui aurait pu reprendre éventuellement sa place avec nous. Mais nous avons décidé de le renvoyer dans la Ligue américaine pour lui permettre de retrouver sa forme du milieu de saison l’an dernier.»

Gainey craint-il que son jeune joueur décide maintenant de mettre le cap sur la Russie?

«Je ne sais pas. Mais comme nous avons perdu un joueur de cette façon l’an dernier – Pavel Valentenko – c’est évident que cette possibilité existe.»

Actuellement en Europe, Don Meehan n’a pas retourné nos appels. Lundi, il avait indiqué à La Presse qu’il conseillait à son client de se plier à la direction du Canadien de rejoindre les Bulldogs de Hamilton. La Russie n’était alors pas une option.

Choix de 6e ronde (200e au total) en 2005, Kostitsyn, 22 ans, est lié au Canadien par un contrat à deux volets.

J’pense qu’avec ça on n’est pas prêts de revoir 40 000 diplômés universitaires comme en 2006…

Éric Caire propose une hausse des frais de scolarité
La Presse Canadienne (20 août 2009), Canoë

Le candidat à la direction de l’Action démocratique, Éric Caire, propose une importante hausse des frais de scolarité au Québec.

En dévoilant une partie de son programme électoral jeudi à Québec, le député adéquiste de La Peltrie a émis le souhait que les tarifs québécois rattrapent la moyenne canadienne, ce qui implique des hausses pouvant atteindre 75 pour cent dans certaines disciplines.

Par exemple, le coût d’une année d’études universitaires en droit quadruplerait, passant de 1820 $ à 7221 $.

L’aspirant à la succession de Mario Dumont a indiqué que cet important rattrapage devrait s’échelonner sur quelques années, sans donner d’échéancier précis.

Avant d’augmenter les droits de scolarité de façon générale, M. Caire propose toutefois de mettre un terme à l’uniformité des frais, afin que la contribution de l’étudiant corresponde à 30 pour cent du coût de la formation.

Ainsi, les frais reliés à une année d’études dans un programme de sciences humaines, par exemple, seraient d’abord revus à la baisse, alors que des hausses seraient immédiatement appliquées dans le cas de formations plus coûteuses, notamment en médecine dentaire.

ENFIN!

La famille obtient les moyens réclamés
Brian Myles, Le Devoir

L’enquête du coroner sur la mort du jeune Fredy Villanueva reprendra
finalement à l’automne, a appris Le Devoir. Une entente a été conclue
sur la question des frais d’avocats à la suite d’âpres négociations
avec le Bureau du coroner.

«C’est réglé. Lorsqu’on parle avec des gens de bonne foi, on
trouve des solutions», a confirmé hier Alain Arsenault, un des avocats
qui représentent les Villanueva et les jeunes qui ont été blessés lors
de l’intervention policière du 9 août 2008. «L’objectif, c’est de faire
une enquête complète et transparente, et il y a tout lieu de croire que
ça va être le cas», a-t-il ajouté.

Cette entente de la dernière heure, négociée avec un procureur du
Bureau du coroner, Christian Hacquin, permettra aux avocats de toucher
un tarif supérieur aux taux gouvernementaux de 50 $, 70 $ ou 100 $ de
l’heure, inchangés depuis une vingtaine d’années, selon une formule
tenant compte de l’expérience des uns et des autres. En somme, le clan
Villanueva obtient ce qu’il voulait, soit des moyens similaires ou
équivalents à ceux des policiers pour procéder à l’enquête.

«Si les familles me demandent si ça vaut la peine, je n’ai aucune
inquiétude à répondre oui. Même si ce n’est pas parfait, on va être
capable de mettre tout sur la table, et c’est ça l’important», affirme
Me Arsenault.

Tout indique par ailleurs que les questions chères au clan
Villanueva, soit le profilage racial et la surreprésentation des Noirs
dans l’appareil judiciaire, seront également abordées au cours de
l’enquête. Le procureur du coroner, François Daviault, aurait déjà
demandé de l’information à ce sujet au Service de police de Montréal
(SPVM).

Un conseiller à la fibre sociale pourrait même être nommé adjoint
au coroner afin de l’éclairer et de le conseiller sur les questions de
profilage. Le coroner ad hoc, Robert Sansfaçon, s’était montré ouvert à
traiter du profilage racial, mais il souhaitait d’abord élucider les
causes et circonstances du décès de Fredy Villanueva avant de décider
de l’opportunité d’élargir son mandat.

«En termes de mandat, on a l’assurance que toutes les personnes
impliquées veulent regarder ce dossier-là de façon ouverte», s’est
contenté de dire Alain Arsenault.

La famille Villanueva et les blessés avaient renoncé à participer
activement à l’enquête du coroner, en mai dernier, à la suite du refus
catégorique du ministre de la Sécurité publique, Jacques Dupuis, de
payer l’ensemble de leurs frais d’avocats. En revanche, ils avaient
promis de répondre à toutes les questions qui leur seraient posées lors
de l’enquête, sans plus, et sans l’assistance d’avocats.

À l’inverse, les policiers impliqués dans la mort de Villanueva et
leur syndicat étaient représentés par des avocats payés à même les
fonds publics. Ces apparences d’iniquité et d’injustice entre les deux
clans étaient si préoccupantes que le juge Sansfaçon avait suspendu ses
travaux, le 26 mai dernier.

M. Sansfaçon estimait qu’il ne pouvait pas permettre le témoignage
des deux policiers impliqués dans la mort de Villanueva (Jean-Loup
Lapointe et Stéphanie Pilotte) et des quatre témoins principaux du
drame tant que ce déséquilibre ne serait pas corrigé.

Devant l’impasse, le ministre Dupuis avait aussitôt changé son
fusil d’épaule en acceptant de payer les frais de la famille Villanueva
et des deux blessés (Jeffrey Sagor-Metellus et Denis Meas). Plusieurs
allers-retours entre le Bureau du coroner, le ministère de la Sécurité
publique et le Conseil du trésor ont été nécessaires avant qu’une
entente soit finalisée vendredi dernier.

Les avocats Alain Arsenault (pour Sagor-Metellus), Peter
George-Louis (pour le père et la mère de Villanueva), Günar Dubé (pour
Dany Villanueva) et René Saint-Léger (pour Denis Meas) ont obtenu des
moyens jugés satisfaisants. Ils pourront même se prévaloir des services
d’une assistance de recherche, l’avocate Pier Bélisle.

Une première audience est prévue en septembre pour débattre de
requêtes préliminaires, mais les travaux ne reprendront probablement
pas avant le 26 octobre.

Qu’en pensez-vous?

Le Canadien du Québec
J. Jacques Samson, Le Journal de Québec
 

Le Canadien de Montréal est une composante importante de l’identité québécoise et, c’est très clair, sa propriété devrait donc être préférablement québécoise.

Instinctivement, les yeux de la rue se sont d’abord tournés, depuis vingt-quatre heures, vers des gens d’ici, détenteurs de grosses fortunes comme les Pierre-Karl Péladeau, Guy Laliberté, Céline Dion-René Angélil, pour rapatrier la Sainte-Flanelle, si l’Américain George Gillett décidait de s’en départir. Ce réflexe illustre bien à quel point le Canadien est considéré par les Québécois, amateurs de hockey ou non, comme un bien patrimonial.

Une nouvelle intervention de la Caisse de dépôt et placement (qui a déjà financé Gillett) a été aussitôt évoquée. Les pressions seraient effectivement très fortes pour que le gouvernement Charest soit proactif, afin de soutenir le rachat du Canadien par des gens d’ici, de préférence francophones, bien au fait de sa valeur dans l’inconscient collectif, même quand l’équipe offre des contre-performances sur la glace.

UNE FRANCHISE BÉTONNÉE

La mise en vente du Canadien par Gillett ne comporte pourtant aucun risque de transfert de la franchise dans une autre ville, comme ce fut le cas pour les Nordiques de Québec et les Expos, dans la Ligue nationale de baseball. Le contrat de vente à George Gillett, il y a 8 ans, était déjà d’une étanchéité à toute épreuve à cet égard. De plus, aucun politicien au gouvernement du Québec ou à la Ville de Montréal ne survivrait à un déménagement de l’équipe. Leur instinct de survie est une police d’assurance.

Sur le plan financier, Forbes établissait la valeur du Canadien, en 2008, à 283 millions $ US, au quatrième rang des franchises les plus coûteuses de la LNH. L’équipe joue toujours à guichets fermés. Sans être une presse à imprimer des dollars, les opérations du club sont rentables, même sans une participation aux séries éliminatoires. Le Centre Bell est aussi on ne peut mieux situé au centre-ville et, outre le hockey, son taux d’occupation est assez élevé pour assurer sa rentabilité, compte tenu de l’entente avec la Ville de Montréal.

M. Gillett n’aura pas trop de difficultés à trouver preneur, ici ou ailleurs, si son prix est raisonnable.

PROPRIÉTÉ PÉRILLEUSE

La propriété du Canadien de Montréal est très prestigieuse. Elle peut rapporter beaucoup à une entreprise qui offre des biens de consommation, comme c’était le cas pour Molson, et O’Keefe dans le cas des Nordiques. En jouant à fond la convergence, un empire de communication aussi intégré que Quebecor pourrait aussi créer par exemple une interaction qui servirait bien l’équipe et, en contrepartie, qui nourrirait ses diverses plateformes médiatiques, journaux, TV, internet…

Le risque n’est donc pas tant financier pour un éventuel propriétaire québécois: il se situe plutôt au niveau du sentiment populaire, justement en raison de l’importance des Glorieux dans la fibre québécoise. Si l’équipe connaît des insuccès, si les amateurs reprochent aux propriétaires de ne pas consentir une masse salariale suffisante pour que l’équipe soit compétitive, si le directeur général fait un trop mauvais échange impliquant un joueur vedette aimé des amateurs, ces derniers bouderont les autres produits identifiés au propriétaire.

Quand Molson a fait la vie dure aux Nordiques sur les droits de télévision, de chauds amateurs ne voulaient plus laisser entrer ses livreurs dans des bars et brasseries de Québec et la «grosse Mol» restait sur les tablettes. Autrement dit, la nonchalance de Kovalev pourrait-elle nuire aux cotes d’écoute de Star Académie, à la vente des DVD de Céline ou à celle des billets du Cirque du Soleil?

Illusions optiques

Quels animaux voyez-vous?

Pouvez-vous voir un bébé sur cette image?

Deux animaux se cachent dans cette image, lesquels?

Combien de personnages pouvez-vous compter?

Deux personnes se trouvent dans cette image, lesquelles?

Si les femmes contrôlaient le monde…

Faites circuler le message!

Les réalités d’une enseignante au quotidien
 
Nouvellement bachelière en éducation préscolaire et primaire, je suis une jeune enseignante de 24 ans. Depuis mon tout jeune âge, je rêve d’écrire au grand tableau, de corriger avec autocollants et bonhommes sourires et de voir les petites frimousses à qui j’enseigne s’épanouir en apprenant à lire, écrire et compter. Ces rêves sont devenus réalités depuis bientôt un an. Je ne me plains pas de mes petits amours, de mes enrichissantes collègues ou de la dynamique d’une école absolument irréprochable. Je ne me plains pas de mon salaire, qui en fait pourtant damner plus d’une si l’on considère toutes les heures consacrées à notre profession (impossible de faire du 9 à 5). Je suis heureuse de ce que j’accomplis jours après jours dans la recherche du meilleur de moi-même et du meilleur à donner à mes élèves.

Ce que je déplore et qui pèse lourd sur mes épaules est le comportement des parents et de la société à l’égard de ma profession. Combien de fois je ressens une révolte en moi en entendant ces phrases typiques: «Vous êtes bien vous autres avec vos deux mois de vacances par été». 1 mois et demi pour plus de précision et bien mérité compte tenu de l’intensité des autres mois scolaires où il faut gérer les notes, les bulletins, les diverses corrections commentées, les cas disciplinaires, les plans d’intervention, les périodes de récupération avec des élèves en difficulté, les photocopies, les matières à planifier, les projets, les portfolios, les communications aux parents, les réunions d’école et de niveaux … il me semble que j’en passe …

 
Vous êtes bien vous autres d’avoir des journées pédagogiques payées». Comme si on ne travaillait pas ces journées là: réunions, corrections, bulletins à entrer sur système informatique, planification, réalisation de matériel, bref relisez tout ce que j’ai énuméré auparavant …
«C’est de votre faute si mon enfant ne réussit pas à l’école. Moi je ne suis pas allé à l’université, alors je ne peux pas lui enseigner. C’est votre rôle et vous êtes bien assez payé pour ça! » Vous seriez bien surpris d’apprendre que notre formation est essentiellement basée sur l’expérience acquise sur le terrain et qu’une collaboration parents-enseignants est essentielle à la réussite de vos enfants. Ne serait-ce que par l’implication des devoirs et leçons ou de la lecture occasionnelle avec eux à la maison.
 
J’entends aussi «Moi, mon enfant est comme-ci et moi, mon enfant est comme ça, alors faites-ci et faites cela avec lui.» Un enfant-roi de plus qui décide de tout à la maison. Heureusement, il n’aura jamais cette latitude à l’école … Ouf! On doit les éduquer en plus de la discipline.

Et en exposant ces faits, j’emprunte un langage respectueux, contrairement à ce qu’on peut parfois retrouver dans l’agenda d’un élève ou dans quelque chronique d’opinion publique qui nous blâme encore et encore … ÇA SUFFIT!!!!

Comme je ne désire pas entrer dans les statistiques décrétant qu’une nouvelle enseignante sur cinq risque de quitter la profession dans les cinq premières années de sa carrière, j’ai décidé d’agir. Il est dorénavant nécessaire de défendre qui nous sommes, enseignantes dévouées et si peu valorisées. Je dirais même sous-estimées. L’heure est grave en mon sens. Pourquoi tant de préjugés à notre égard? Pourquoi frapper sur la tête des enseignantes en ne sachant pas du tout ce que notre profession exige à travers la Réforme, les déficits d’attention, les troubles de comportement, le peu de soutien professionnel et toute une liste encore à énumérer? Il me semble qu’il y a matière à réflexion. Surtout lorsqu’on sait que d’un autre côté, une bonne partie des parents accusateurs sont les moins bien placés pour nous juger. Il est facile d’accuser l’enseignante qui voit davantage leur enfant qu’eux quand il n’est pas rare de voir des enfants passer près de 10 heures par jour à l’école (incluant les heures de service de garde). Je crois qu’il faut se demander d’où vient vraiment la source des problèmes dont on nous accuse plus souvent qu’autrement. Je généralise, mais ce n’est qu’un exemple parmi tant d’autres.

Informez-vous donc un peu sur tout ce qui peut se vivre dans une classe de 20 élèves et plus à s’occuper, quand certains en valent 3 juste par leurs problèmes d’apprentissage ou de comportement. Demandez-vous si vous connaissez tous les aspects de notre profession et des conditions relativement médiocres dans lesquelles notre employeur (ce cher gouvernement) nous place.

L’avenir des enfants est entre nos mains. Pensez-vous vraiment que nous ne sommes pas à la hauteur suite à tout ce qu’on fait pour eux? Notre but ultime est la réussite de chacun d’entre eux, années après années. Pourrions-nous nous permettre de passer à côté de notre objectif principal et de la raison de notre engagement dans cette profession?

Plutôt que d’envoyer un mot blessant à l’enseignante de votre enfant demain matin, dites-lui donc merci! Un simple merci qui accrochera sûrement l’une d’entre elles encore quelques années. Un simple merci qui deviendra synonyme d’espoir en l’avenir pour une jeune enseignante comme moi qui veut croire à ses rêves d’enfance.

Kathia Trottier, enseignante.

 
N.B. : Merci de faire circuler ce e-mail à vos contacts, afin de faire taire quelques préjugés et avancer enfin!

Le saviez-vous?

Pour être mannequin, une femme ne doit pas peser plus de 55 kg (120 lb) et doit mesurer au moins 1,73 m (5 pi 8 po), ce qui donne un indice de masse corporelle de 18, seuil où la fertilité commence à être compromise? Puisque ce modèle de beauté ne correspond qu’à 5 % de la population féminine, les 95 % de femmes plus grasses n’ont plus qu’à rêver devant les 5 % de femmes plus maigres qu’elles.